Très attendu et décevant, le nouveau Sheller. Un disque prétendument rock : on y entend surtout un pénible et lourdingue fatras de guitares, tendance rococo-progressif des seventies. Le tout avec des effets sur la voix rendant les textes quasi inaudibles et sonnant comme du U2 de Prisunic.
Pompeux, pompier, pompant.
(Philips/Polygram)